Écuelles (Seine-et-Marne)

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Écuelles
Écuelles (Seine-et-Marne)
La mairie annexe d'Écuelles.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Fontainebleau
Commune Moret-Loing-et-Orvanne
Intercommunalité Communauté de communes Moret Seine et Loing
Statut Ancienne commune
Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Jean-Philippe Fontugne (PS)
2020-2026
Code postal 77250
Code commune 77166
Démographie
Gentilé Écuellois
Population 2 489 hab. (2012)
Densité 211 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 21′ 09″ nord, 2° 49′ 18″ est
Altitude Min. 45 m
Max. 103 m
Superficie 11,81 km2
Élections
Départementales Montereau-Fault-Yonne
Historique
Commune(s) d'intégration Orvanne
Localisation
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Écuelles
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Écuelles
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Écuelles
Liens
Site web moret-loing-et-orvanne.fr/ecuelles

Écuelles est une ancienne commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France, qui a fusionné le pour former la commune nouvelle d'Orvanne.

Depuis le , Écuelles reste déléguée au sein de la commune nouvelle Moret Loing et Orvanne, puis au de Moret-Loing-et-Orvanne.

Ses habitants sont appelés les Écuellois[1],[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Écuelles est située dans le sud-ouest du département de Seine-et-Marne, à 2 km au sud de Moret-sur-Loing et 15 km au sud-est de Fontainebleau. Paris est à 83 km au nord-ouest[3],[4].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Un sous-sol composé de calcaire permet l’exploitation d’une imposante carrière.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le système hydrographique de la commune se compose de treize cours d'eau référencés :

  • la Seine, fleuve long de 774,76 km[5]ainsi que :
    • un bras de 1,02 km[6] ;
    • un bras de 1,73 km[7] ;
    • la rivière le Loing, longue de 142,73 km[8], affluent en rive gauche de la Seine ;
      • la rivière Orvanne, longue de 38,84 km[9], affluent du Loing, ainsi que :
        • un bras de 0,04 km[10] ;
        • un bras de 0,18 km[11] ;
        • un bras de 0,20 km[12] ;
        • un bras de 1,81 km[13] ;
        • un bras de 1,98 km[14] ;
        • le ru des Bouillons, 3,65 km[15], affluent de l’Orvanne ;
          • le fossé 01 de la Montagne de Train, 1,47 km[16], affluent du ru des Bouillons ;
  • le canal du Loing, long de 45,90 km[17].

Par ailleurs, son territoire est également traversé par l’aqueduc de la Vanne et le canal 01 de Bagatelle, aqueduc et conduite forcée non navigable de 0,55 km[18].

La longueur linéaire globale des cours d'eau sur la commune est de 19,21 km[19].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

En 2018[20], le territoire de la commune se répartit[n 1] en 42,5 % de terres arables, 19,5 % de forêts, 14,3 % de zones urbanisées, 8,2 % de mines, décharges et chantiers, 4,3 % de zones industrielles commercialisées et réseaux de communication, 4,3 % de zones agricoles hétérogènes[n 2], 3,1 % de prairies, 2,6 % de milieux à végétation arbusive et/ou herbacée[n 3], 1 % d’eaux continentales[n 4] - < 0,5 % d’espaces verts artificialisés non agricoles[19].

Logement[modifier | modifier le code]

Depuis le , Écuelles reste déléguée au sein de la commune nouvelle Moret Loing et Orvanne (77316)[Note 1].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Sépulture néolithique en tumulus à Saint-Lazare

Au lieu-dit Saint-Lazare[21] près du faubourg d'Écuelles à l'est de Moret, entre la route de Montereau (D606) et le chemin de Montarlot (D40E1) près de l'étang de Moret, se trouve un tumulus établi en sous-sol, recouvert de 25 cm de terre végétale. M. Chouquet y a trouvé des ossements humains calcinés et, dans un trou, 5 fragments de crânes ; d'après lui, deux rites de sépultures y ont eu lieu, l'un avant l'incinération et l'autre après. D'autres chambres entourées et recouvertes de pierres contenaient des axillaires, dents et morceaux de crânes ; certains à peine brûlés et d'autres complètement noircis par le feu. Selon G. Lioret, cette disparité de traitement viendrait de ce que la technique d'incinération n'était pas encore maîtrisée. Selon Broca, ces crânes s'apparentent à ceux trouvés par Chouquet au tertre Guérin (4 km à l'est, sur la Grande-Paroisse où se trouve aussi le célèbre site de Pincevent) ; deux d'entre eux montrent des traces de trépanation[22].

La « chambre dolménique » du tumulus, intacte, a livré un couteau en silex noir, une amulette en schiste avec deux trous de suspension, un disque en silex percé et des fragments de poterie néolithique[22].

Hallstatt final à Charmoy

Le lieu-dit Charmoy[n 5] se trouve entre la D 218 et l'étang de Moret. C'est l'un des premiers sites découverts en bord de plateau autour de la confluence Yonne-Seine. Il est occupé au Hallstatt final, de la fin du VIe siècle à la deuxième moitié du Ve siècle. Il a livré des bâtiments sur pilotis, des silos et des fosses contenant une grande quantité de fragments de céramique, dont des poteries peintes ; ainsi que des vestiges d'artisanat métallurgique, avec réduction du fer et fabrication de parures moulées en bronze[24].

XXIe siècle[modifier | modifier le code]

La commune s'est transformée le en commune déléguée de la commune nouvelle d'Orvanne[25],[26] puis, le , de Moret Loing et Orvanne[27], qui regroupe les anciennes communes de Moret-sur-Loing, Écuelles, Épisy et Montarlot, et au , de Moret-Loing-et-Orvanne.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Écuelles faisait partie de l’arrondissement de Fontainebleau, et était historiquement rattachée au canton de Moret-sur-Loing. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle a été intégrée au canton de Montereau-Fault-Yonne.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre fondateur de la communauté de communes Moret Seine et Loing.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors des élections municipales du , deux listes se sont présentées aux suffrages des électeurs, la liste « Une nouvelle étape » du maire sortant Jean-Christophe Paquier, qui a recueilli 60,3 % des voix, et une liste conduite par l'ancien premier adjoint avant 2008, Alain Girault, qui a obtenu 39,7 %.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs jusqu'à la création de la commune déléguée
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  1879 Antoine Cossinet    
1879 1879 Gabriel Colmet-Dâage    
1879 1888 Auguste Cornabé    
1888 1892 Jules Bastard    
1892 1919 François-Joseph-Adrien Cochin    
1919 1931 Vincent Tanneur    
1931 1935 Gustave Rabotin    
1935 1935 Charles Panier    
1937 1944 Alexandre Dumont    
1944 mai 1945 Henri Gustave Godard    
mai 1945 mars 1959 Noé Refauvelet    
mars 1959 1960 Roland Coulon    
1960 mars 1977 Robert Saint-Hilaire DVD  
mars 1977 2000 Yvonne Coutenceau PCF  
2000 mars 2008 Jacques Maréchal DVG Employé de banque
mars 2008 31 décembre 2014 Jean-Christophe Paquier PS Ingénieur agronome

Liste des maires délégués[modifier | modifier le code]

Liste des maires délégués successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1er janvier 2015 25 novembre 2016 Jean-Christophe Paquier PS Ingénieur agronome
15 décembre 2016 En cours
(au 5 juillet 2020)
Jean-Philippe Fontugne PS Cadre territorial, vice-président de la communauté de communes Moret Seine et Loing (2008-2020)

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en [29],[Note 2].

En 2012, la commune comptait 2 489 habitants.

           Évolution de la population  [modifier]
1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866
457560634592630595380351361
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
345312303334309361450488483
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
4495446867347659271 0361 0981 206
1982 1990 1999 2006 2011 2012 - - -
1 4101 9402 4632 5532 4432 489---
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Écuelles accueille l'école maternelle des Lilas, située rue de l'Église, ainsi qu'une école primaire dans la rue de Ravanne.

Sports[modifier | modifier le code]

Gymnase, rue Georges Villette.

Économie[modifier | modifier le code]

Depuis le , Écuelles reste déléguée au sein de la commune nouvelle Moret Loing et Orvanne (77316)[Note 1].

Un des trois centres de recherches d’Électricité de France, Les Renardières, est situé à Écuelles.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Rémi d'Écuelles

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Statistiques de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols “Corine Land Cover”.
  2. Elles comprennent les cultures annuelles associées aux cultures permanentes, les systèmes culturaux et parcellaires complexes, les surfaces essentiellement agricoles, interrompues par des espaces naturels importants et les territoires agro-forestiers.
  3. Pelouses, pâturages naturels, landes et broussailles, végétation sclérophylle, forêt et végétation arbustive en mutation.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Le toponyme Charmoy Ce lien renvoie vers une page d'homonymie est très courant, surtout dans la région. Ne pas confondre, notamment avec Charmoy dans l'Yonne au sud-est de Joigny (à quelque 80 km d'Écuelles), où l'on a aussi trouvé des vestiges préhistoriques, ceux-là datant de la Tène[23].
Notes sur la démographie
  1. a et b Voir le paragraphe introductif de l’INSEE concernant les fusions de communes.
  2. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Services publics Ecuelles », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. « Atome77 », sur Atome77 (consulté le ).
  3. « Écuelles (Seine-et-Marne), carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
  4. « Écuelles (Seine-et-Marne) », sur google.fr/maps. Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran) – cliquer sur "Itinéraires".
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Seine (----0010) »
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de la Seine (F4007001) »
  7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de (F4007501) »
  8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Loing (F4--0200) »
  9. Sandre, « Fiche cours d'eau - L’Orvanne (F4398000) »
  10. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de l'Orvanne (F4399411) »
  11. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de l'Orvanne (F4399451) »
  12. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de l'Orvanne (F4399441) »
  13. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de l'Orvanne (F4399401) »
  14. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de l'Orvanne (F4399301) »
  15. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru des Bouillons (F4398401) »
  16. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Montagne de Train (F4398900) »
  17. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le canal du Loing (F4--3692) »
  18. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal 01 de Bagatelle (F4398002) »
  19. a et b Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 5 juillet 2019
  20. Site Corine Land Cover Mises à jour.
  21. « Saint-Lazare, Écuelles, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
  22. a et b [Doignon 1937] Pierre Doignon, La préhistoire dans le Gâtinais fontainebleaudien, édité par l'auteur, , sur books.google.fr (lire en ligne), p. 146-147.
  23. [Peyre & Granat 2011] Évelyne Peyre et Jean Granat, « La maturation dentaire, nouvel argument pour reconstruire l’histoire humaine », Actes de la Société française d'histoire de l'art dentaire, no 16,‎ , p. 63-68 (lire en ligne [PDF] sur biusante.parisdescartes.fr, consulté le ), p. 64.
  24. [Bardel 2005] David Bardel, « Le mobilier archéologique de l'habitat du Hallstatt final à Écuelles « Charmoy » (Seine-et-Marne) » (dans Olivier Buchsenschutz, Alain Bulard & Thierry Lejars, Actes du XXVIe colloque de l’Association française pour l’étude de l’âge du Fer (Paris/Saint-Denis, 9-12 mai 2002)), Supplément à la Revue archéologique du Centre de la France, éd. FERACF, no 25 « L’âge du Fer en Île-de-France »,‎ , p. 209-224 (lire en ligne [PDF] sur hal-inrap.archives-ouvertes.fr, consulté le ).
  25. Arrêté du 2 décembre 2014 portant création de la commune nouvelle d'Orvanne, sur Légifrance.
  26. « Commune nouvelle Orvanne : quelles modalités, quels avantages ? : Les villes de Moret et d’Écuelles constitueront en janvier la première commune nouvelle d'Île-de-France, Orvanne. Quels en seront les avantages et les modalités ? Explications », La République de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne [sur actu.fr]).
  27. « Arrêté préfectoral du 29 octobre 2015 portant création de la commune nouvelle de « Moret Loing et Orvanne » », Recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, no 113,‎ , p. 18-20 (lire en ligne [PDF] sur seine-et-marne.gouv.fr).
  28. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  29. [ Calendrier départemental des recensements], sur le site de l'Insee.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années .
  32. « Menhir dit La pierre droite », notice no PA00086942, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  33. « Église », notice no PA00086941, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  34. « Écuelles : les prostitués du Bois de Boulogne accueillis dans l’ancien monastère », sur leparisien.fr (consulté le ).
  35. « Domaine de Ravanne », notice no PA00086940, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Écuelles », p. 995–996

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]